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il y a 4 ans
Mélanie avait 20 ans depuis hier et elle était esclave. Depuis la veille elle portait une double marque. L'une sur son sein droit et l'autre sur le pubis, juste au-dessus de la fente de sa vulve.
Elle avait cru défaillir lorsque le fer rougeoyant s'était posé sur sa chair, lorsque une odeur de couenne de cochon grillé avait caressée ses narines, lorsqu'une douleur intolérable avait envahit son être tout entier. Le corps arqué, elle avait hurlé à s'en casser la voix. Mais voilà, elle était allée au bout de son chemin, de sa voie.
Recroquevillée dans cette espèce de placard qui depuis plusieurs mois lui servait de chambre, elle vivait cette douleur sourde qui pulsait de son sein et de son entrejambe avec un ineffable bonheur.
Ses mains posées à l'un et l'autre endroit se nourrissaient de la chaleur qui en émanait même si des pansements, posés avec tendresse par celle qui était sa maîtresse depuis 2 ans, empêchaient un contact de peau à peau.
A l'évocation de sa chair marquée à jamais, des frissons de plaisir, à la frontière d'orgasmes qu'elle sentait poindre parcouraient son corps lui donnant la chair de poule. Elle haletait doucement tandis qu'un de ses doigts parcourait la fente de son sexe pour en déployer les lèvres et débusquer le clitoris mis à mal la veille sous les t o r t u r e s qui lui avaient été infligées.
Pour la première fois depuis bien longtemps, sa maîtresse n'avait pas verrouillé sa vulve. Habituellement ses grandes lèvres, chacune percées de 5 trous, étaient jointes par un jeu de barrettes qui reliaient les trous deux à deux. L'accès à son clitoris était ainsi quasiment impossible et une pénétration vaginale délicate.
- Maintenant que tu es totalement à moi, je t'autorise à te caresser tout ce qui reste de ta nuit. Profites en ma petite chienne ! lui avait-elle murmuré tendrement dans l'oreille.
Elle avait alors frôlé de sa main l'anus, le périnée pour finir par tapoter délicatement la vulve offerte complaisamment. Tout à son bonheur, Mélanie avait à peine remarquée qu'elle s'était éloignée et que son réduit sans lumière avait été comme d'habitude, fermé à clé.
Le silence était maintenant total dans la maison. Ne sachant dormir, elle avait entendu les invités à la bacchanale partir l'un après l'autre en remerciant bruyamment sa maîtresse par la soirée exceptionnelle qu'ils avaient vécue. Certes, assister dans la même soirée à la castration d'un mâle, esclave depuis plusieurs années, à 4 serments de soumission, 3 femelles et 1 mâle, assortis de tourments divers, et enfin au marquage d'une jeune et jolie esclave, voilà qui n'était pas commun même dans le milieu que fréquentait sa maîtresse.
Elle repensait à l'extraordinaire aventure qu'elle vivait depuis 2 ans.
Aussi loin que remontaient ses souvenirs, elle avait toujours eu des rêves et des envies que d'aucun considéraient comme anormaux et très vite elle avait compris qu'elle devait les garder pour elle et ne pas en faire état. La dernière fois qu'elle avait osé raconter un rêve à sa mère, celle-ci en avait été tellement offusquée qu'elle l'avait punie lui interdisant de voir ses amis et amies pendant plus d'un mois.
Ce rêve, pourtant, était relativement « soft », mais sans doute qu'il était difficile pour un adulte de croire qu'une gamine puisse avoir de tels rêves. Dieu sait que pendant les vacances, se retrouver seules avait été pénible. Elle se rappelait encore les masturbations sauvages qu'elle s'était alors imposées au point que le simple port de la classique culotte de coton lui avait été pénible tellement la douleur causée par l'irritation de son jeune clitoris et de ses lèvres était forte.
Elle s'était donc contentée jusqu'à sa majorité de plaisirs solitaires qui souvent consistaient à se martyriser ses jeunes seins naissants ou à se triturer le sexe et le clitoris et toujours un plaisir, qu'elle n'appelait pas encore orgasme, la laissait pantelante sur son lit.
Après être tombée sur un livre pornographique de son père, elle découvert le plaisir du fouet.
Pauvre succédané, elle n'avait trouvé qu'une ceinture pour se cingler le cul. Elle avait commencé à se servir de l'une des siennes d'abord puis d'une épaisse ceinture de son père. Chacune avait son avantage, la sienne, plus légère et plus fine cinglait en laissant parfois de fine trace rouge sur sa peau, celle de son père, plus large et plus lourde frappait le fessier avec plus de poids assourdissant en quelque sorte la douleur.
A l'époque, elle adorait entendre le claquement du cuir sur sa peau et plus encore ressentir la douleur fulgurante irradiant de son cul ou de son bas ventre quand l'extrémité de la ceinture venait frapper le haut de son pubis presque imberbe. Invariablement, les fesses rougies, la séance se terminait les mains entre les cuisses et le corps tendu sous les vagues d'orgasmes.
Un jour, utilisant l'une de ses ceintures, l'extrémité avait frappé son clitoris. Instantanément, elle avait joui. Son jeu s'était alors enrichi de séance durant lesquelles, agenouillée, elle se fouettait les fesses et le cul, et, ou couchée sur le dos les jambes largement écartées, elle abattait la lanière de cuir sur son sexe.
Très vite, elle avait essayé de se fouetter les seins. Elle rêvait de voir deux pommes rouges et boursouflées en lieu et place de ces deux petites mamelles toute blanche qui jours après jours gonflaient sur son torse. Elle comprit vite qu'un ou qu'une partenaire serait nécessaire mais toute à ses plaisirs solitaires elle se promit d'attendre.
Les quelques garçons qui avaient tenté de l'approcher avaient tous été repoussés. Non qu'elle ne puisse imaginer entretenir une relation avec l'un d'eux, mais parce qu'elle avait compris qu'il ne lui serait pas possible de leur faire partager ses expériences.
Certains lundi, elle riait sous cape de voir la grossièreté de leurs avances alors même que son cul tremblait encore de la correction qu'elle s'était donnée la veille et que sa vulve rougie lui rappelait le doigtage f o r c e né auquel elle s'était adonnée.
Assez rapidement, elle eu une réputation de bécasse et d'allumeuse et les garçons eurent tendance à ne plus s'occuper d'elle. Elle ne s'en formalisa pas. Ces 5 années s'étaient écoulées sans problème majeur. Elle avait fêté avec ses parents sa majorité toujours pucelle du con, du cul et de la bouche si l'on considère qu'aucun sexe mâle n'avait investit les uns et les autres.
Chapitre 2 L'évolution
Sa dernière année scolaire secondaire s'était achevée par une réussite méritée. Tout à leurs bonheurs ses parents avaient accepté qu'elle suive un enseignement de niveau supérieur à Bruxelles. Il lui avait loué un petit appartement sous un comble non loin de l'institut d'enseignement supérieur ou elle s'était inscrite.
Sa nouvelle logeuse lui avait plu tout de suite lors de la première visite du studio. C'est presque en amie qu'elles s'étaient souhaitées d'excellentes vacances après avoir signé le contrat de location. Nous étions fin juin et tout au long des vacances, Mélanie allait jour après jour fantasmer sur cette jolie brune d'une quarantaine d'année.
Est-ce l'indolence d'un été chaud, ou une sexualité qui s'était depuis longtemps exacerbée, il ne se passa pas un jour sans qu'elle ne ressente le besoin impérieux de se fouetter, de se branler, bref de jouir. Avec le temps sa technique s'était améliorée.
L'audace venant avec l'âge, elle s'était procurée quelques accessoires dans le sexshop de la petite ville où elle habitait. Ce n'était pas grand-chose, un martinet, une cravache, quelques pinces pour ses tétons, son clitoris ou ses lèvres intimes et moult poids qui accrochés aux pinces étiraient les tétons, les petites lèvres ou encore le clitoris augmentant ainsi l'impression délicieuse d'être garnie.
Elle réservait la cravache à son pubis et à son sexe. Elle avait acquis assez d'habilité pour parvenir à laisser de belles traces rouges sur son pubis qu'elle épilait soigneusement et il n'était pas rare si l'angle d'attaque entre le bas-ventre et la cravache était correcte que ses lèvres soient aussi marquées.
Si les coups qu'elle s'assénait étaient au début relativement légers, bientôt elle avait rapidement acquis assez d'expérience pour frapper avec une v i o l ence contenue les endroits voulus. Son problème se rendit-elle compte tout aussi vite était de savoir ce qu'elle appelait v i o l ence contenue.
Le martinet était chargé de rougir ses fesses. Manié avec dextérité, elle parvenait à donner à son cul une belle couleur rouge et lorsqu’une lanière plus perverse que les autres venait frapper l'anneau culier ou le périnée, il n'était pas rare qu'elle ne doive s'arrêtée terrassée par le plaisir.
Elle adorait se poser des pinces. En plus de celles qu'elle avait achetées, elle piquait les pinces à linge de sa mère et se les posait tout autour de ce qu'elle appelait avec un certain mépris de ses mamelles.
Avec l'âge ses seins avait grossi passant du bonnet A de ses treize ans au D de maintenant. Elle comprenait qu'ils étaient un objet de désir aussi gros soient-ils mais aurait préféré en rester à un B ou au plus un C.
Elle admettait toutefois en son for intérieur que quelque soit leurs tailles, elle en retirait un plaisir intense. Ses tétons réagissaient à la moindre caresse devenant ferme et dur au toucher et quoiqu'elle en pense elle se prenait à apprécier la fermeté de la tenue de ses seins.
Ses mamelles garnies de pinces, elle passait une ficelle pour les relier. Elle attachait l'extrémité de cette ficelle à la clinche de sa porte entre ouverte, se positionnait de sorte que la ficelle soit tendue et avec le pied fermait la porte avec v i o l ence. Les pinces étaient alors arrachées v i o l emment. La douleur était telle qu'elle suffoquait quelques instants avant de ressentir une chaleur sourde envahir sa poitrine. Elle s'était promise d'essayer la même chose mais avec des pinces crocodiles. Elle ne s'y était pas encore résolue, craignant de se blesser à s a n g .
Comme défis, il n'était pas rare qu'elle pose sur ses tétons de larges pinces plates qu'elle conservait depuis le matin jusqu'au soir lorsqu'ils ne devaient pas aller à la plage. Lorsqu'elle avait voulu les retirer la première fois, elle avait bien cru avoir une syncope tellement la douleur qui avait irradié de ses mamelons avait été forte. A présent, elle agissait avec prudence mais appréciait cette brûlure qui vrillait ses mamelles.
A la mer, avec sa famille, elle se contentait de porter un maillot une pièce, seul moyen de cacher les meurtrissures de son corps. Si ses parents s'en étonnèrent, ils se contentèrent de son explication relative à sa pudeur d'a d o l e s c e n t e. Il est vrai que depuis plusieurs mois, à cet égard, Mélanie, semblait être devenue un exemple.
Pendant ses vacances, plus préoccupée de sa sexualité que de ce qui se passait au alentour, elle ne rencontra pas grand monde. Elle découvrit la bite d'un de ses cousins qui les accompagnait. Il était tellement excité par cette cousine qui semblait le snober que la coinçant dans un retrait de porte il voulu f o r c e r sa bouche en tentant d'y introduire une langue limaçeuse. D'un geste rageur elle l'éloigna. Lui, loin de s'arrêter en si bon chemin, voulu poursuivre en exhibant son sexe mais le coup de pied qu'il reçu en retour calma définitivement ces ardeurs d'a d o l e s c e n t boutonneux.
Plus tard, lors d'une soirée organisée dans le village, elle fit la connaissance d'une jeune fille de son âge. Elle ne fut pas insensible à son charme juvénile mais se rappela à temps l'état dans lequel ses turpitudes de la veille avaient laissé son cul et ses seins.
Pendant le mois de vacances restant elle continua à la voir mais en copine uniquement.
L'été s'écoulât sans autres grandes surprises mollement sous un soleil de plomb.
Elle attendait la rentrée et les retrouvailles avec cette logeuse dont l'image la taraudait quasi quotidiennement.
Le 15 septembre lorsque la voiture de ses parents la déposât devant l'immeuble, elle ne se tenait plus d'impatience.
Bruno termonia
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